Elle saura vous rendre plus belle, plus rayonnante et plus sûre de vous. Elle, c’est Myriam Hoffmann, entrepreneuse. En 1993, la jeune femme décide de créer sa société : Première Impression, un cabinet de conseil en image pour femmes et hommes et un centre de formation établi à Genève.

Une nouvelle orientation

Si Myriam se lance dans cette activité, c’est un peu le fruit du hasard. Pas vraiment épanouie dans sa carrière professionnelle, la jeune Française installée à Londres travaille dans les domaines du marketing et de la communication. C’est lors d’un événement qu’elle découvre ce métier, “ça a été le vrai coup de coeur, je savais désormais ce que je voulais faire.”

Des débuts fragiles

Cependant rien ne pouvait arrêter sa détermination. Myriam Hoffmann se forme au métier. Commence alors la délicate période ; faire découvrir sa nouvelle activité. Chose périlleuse. Vingt ans plus tôt, en Suisse, très peu de gens connaissent la profession de conseiller en image. Pour se faire comprendre et se faire connaître, Myriam participe à de nombreux événements. La persévérance, la patience (même si l’intéressée avoue en avoir peu), de l’ouverture d’esprit et bien évidement du travail, du travail et encore du travail, voici les ingrédients qui entrent dans la composition de la réussite de Myriam Hoffmann. Aujourd’hui, l’entreprise est prospère et prend même un nouveau virage. A l’ère du 2.0, l’entrepreneuse a bien compris la nécessité d’être visible sur internet et les réseaux sociaux. La consultante en image propose aussi des prestations vidéos pour les particuliers et les entreprises via le site web de Première Impression.

Une indépendance à mesurer

Passionnée, elle l’est par son travail, le sport et le chocolat, son petit pêché du soir.  Non pas un mais plusieurs carreaux de chocolats viennent clore sa journée de travail. Membre du club des passionnés de chocolat à Genève, Myriam Hoffmann est une épicurienne. Constamment en mouvement, la chef d’entreprise invite celles et ceux qui souhaitent créer leur entreprise à le faire ; mais attention, précise-t-elle, à bien évaluer l’investissement personnel que cela peut représenter. Persévérance et patience sont donc les deux qualités indispensables de l’entrepreneur.